Un marché comme New York est supposé être attirant pour un jeune joueur en quête de réussite dans la NBA. Une présence médiatique accrue, une base partisane présente année après année et une ville qui est loin d’être platonique. Quentin Richardson croit que les jeunes d’aujourd’hui voient la Grosse Pomme bien différemment.
Il mentionne que les jeunes peuvent être irrités par le comportement des partisans qui, par moment, peuvent dépasser les bornes. Richardson a joué pour les Knicks de 2005 à 2009. C’était coutume pour des coéquipiers du vétéran de s’empêcher de sortir en raison de leurs mauvaises performances à l’époque. Ils étaient interpellés par les partisans dans la rue lorsque l’équipe traverse une mauvaise passe. Les Knicks n’ont pas fait les séries éliminatoires lorsque Richardson évoluait pour l’équipe.
« You have to have a thick skin to be able to deal with that. For me, I was from Chicago, so it never really mattered to me what anybody said. I legit witnessed seeing how it goes. If you’re not built for it, you’re not built for it. »
-Quentin Richardson
Il n’y a certainement pas qu’à New York que les médias et les partisans discutent continuellement de la valeur et des performances d’un joueur. On en sait quelque chose à Montréal. Est-ce que c’est l’une des raisons qui expliquent que plusieurs vedettes évitent les Knicks comme la peste depuis plusieurs années ?