Selon Marc Berman du New York Post, Julius Randle ne faisait pas l’unanimité dans le vestiaire des Knicks, ayant frustré plusieurs joueurs par son style de jeu dont la recrue RJ Barrett.
Les partisans des Knicks sont habitués à ce genre de rumeurs. Tensions dans le vestiaire, dysfonctions au sein de l’état-major, conflits impliquant le propriétaire, tout ce bruit n’a plus rien d’étonnant pour les pauvres partisans de New York.
Ceci dit, la nouvelle de ce matin dans le New York Post a de quoi faire sourciller même les habitués. En effet, le journaliste Marc Berman a surpris tout le monde en soulevant le nom du nouveau protégé des partisans des Knicks, le populaire joueur recrue RJ Barrett :
« Certains joueurs des Knicks, y compris la recrue RJ Barrett, étaient frustrés par l’habitude de [Julius] Randle à trop dribbler et ne pas distribuer le ballon rapidement, selon deux sources près de l’organisation. […] la chimie entre Randle et Barrett, qui lui est habitué d’avoir le ballon entre ses mains, sera à surveiller la saison prochaine même si Barrett est resté plutôt silencieux par rapport à sa situation avec Randle. »
Marc Berman, New York Post
Bien que ce genre de critique à l’endroit de Randle n’ait rien de nouveau, le fait que le jeune Barrett soit impliqué dans cette situation est plutôt surprenant. En effet, le Canadien était habitué de partager les possessions avec Zion Williamson, Tre Jones et Cam Reddish lors de sa saison à Duke.
Ceci dit, Barrett n’est probablement pas la personne à blâmer puisque sa frustration semblait bien partagée par ses coéquipiers :
« Plusieurs joueurs [des Knicks] se sentent de la même manière, à l’exception d’Elfrid Payton. »
Source anonyme via Marc Berman, New York Post
Le fait que cette source anonyme ait spécifié l’exception d’Elfrid Payton semble insinuer que le problème est assez généralisé, Payton étant le seul allié de Randle dans ce vestiaire divisé.
Quoi qu’il en soit, il s’agit d’une autre saga à surveiller à New York. Pandémie ou non, semble-t-il que cette organisation ne s’en sort jamais…