Top 5 : les joueurs les plus sous-payés de la NBA

En résumé

Il y a quelques jours, mon collègue Manuel Villeneuve a analysé quels joueurs vedettes méritaient plus d’argent que ce qu’ils gagnaient. Aujourd’hui, je m’adonne au même exercice, mais cette fois avec des partants réguliers et des joueurs de rôle. Voici donc les cinq joueurs les plus sous-payés de la ligue. 5) Lou Williams (Clippers) Sous ... Lire plus

Il y a quelques jours, mon collègue Manuel Villeneuve a analysé quels joueurs vedettes méritaient plus d’argent que ce qu’ils gagnaient. Aujourd’hui, je m’adonne au même exercice, mais cette fois avec des partants réguliers et des joueurs de rôle. Voici donc les cinq joueurs les plus sous-payés de la ligue.

5) Lou Williams (Clippers)

Sous contrat pour encore deux ans avec les Clippers de Los Angeles, celui qui est la définition même d’un Sixième Homme de l’Année a signé une extension de trois saisons et seulement 24 millions en 2018. Son rendement de 18.7 PTS, 3.1 REB et 5.7 AST suggère pourtant qu’il a une valeur plus importante.

4) Fred VanVleet (Raptors)

Un point guard réserviste parfait derrière Kyle Lowry, VanVleet a vu son rôle augmenter chez les Raptors, mais pas sa fiche de paie. Bien qu’il possède de bonnes moyennes de 17.6 PTS, 3.8 REB et 6.6 AST, son salaire se situe toujours autour de la marque des 9M$ annuels, chose qui devrait changer à son prochain contrat.

3) Spencer Dinwiddie (Nets)

Le point guard de 27 ans a profité de l’absence de Kyrie Irving pour monter son jeu d’un cran cette année, connaissant la meilleure saison de sa carrière avec 20.6 PTS, 3.5 REB et 6.8 AST par match. Il a signé une extension de trois ans, 34 millions à Brooklyn en 2018, mais sa valeur est assurément plus grande aujourd’hui.

2) Montrezl Harrel (Clippers)

Le deuxième joueur des Clippers de ce classement, Harrel a signé pour deux saisons, douze millions de dollars en juillet 2018. Sauf qu’entre temps, le power forward est passé d’un joueur qui passait environ quinze à vingt minutes sur le terrain à un candidat légitime au titre de Sixième Homme de l’Année qui produit environ 18.6 PTS, 7.1 REB et 1.7 AST par soirée de travail.

1) Derrick Rose (Pistons)

Bien qu’il ne soit plus le MVP qu’il a déjà été, Rose a tout de même réussi à redevenir un joueur de bon niveau l’an dernier au Minnesota, avant de signer pour deux ans et quinze millions de dollars avec les Pistons à l’été 2019. Ses statistiques de 18.1 PTS, 2.4 REB et 5.6 AST démontrent qu’il vaut bien plus que cela.

Mentions honorables

Soulignons le bon travail de DeAndre Jordan (Nets), T.J. Warren (Pacers) et Christian Wood (Pistons), qui ont tous les trois raté ce classement de peu.

William Thériault

William Thériault est journaliste. Il écrit pour le journal La Presse depuis 2022. Il travaille également dans la salle de nouvelles pour le FM 107.7 (Cogeco Média) à Sherbrooke et collabore au magazine L'actualité. William a animé l'émission AlleyOop360 sur les ondes de BPM Sports entre janvier 2022 et juin 2023, en plus de décrire les matchs de l'Alliance de Montréal comme reporter terrain en 2022 et descripteur play-by-play en 2023.

William Thériault

William Thériault est journaliste. Il écrit pour le journal La Presse depuis 2022. Il travaille également dans la salle de nouvelles pour le FM 107.7 (Cogeco Média) à Sherbrooke et collabore au magazine L'actualité. William a animé l'émission AlleyOop360 sur les ondes de BPM Sports entre janvier 2022 et juin 2023, en plus de décrire les matchs de l'Alliance de Montréal comme reporter terrain en 2022 et descripteur play-by-play en 2023.

Voir plus

Autres articles