Depuis que Magic Johnson a officellement décidé de quitter l’organisation des Lakers de Los Angeles, pour laquelle il était le président, de nombreuses rumeurs ont fait surface à propos des raisons qui l’ont poussé à prendre cette décision. On parlait notamment d’une liberté brimée et de courriels échangés dans le dos de Magic. Le principal intéressé était de passage à First Take aujourd’hui pour expliquer sa version de l’histoire.
Tout d’abord, il est important de comprendre que lorsqu’on a donné le poste à Magic, on lui a mentionné qu’il avait tous les pouvoirs décisionnels. Au départ, cette entente a été respectée. Il a échangé D’Angelo Russell et procédé aux sélections de Lonzo Ball et Kyle Kuzma, ainsi de suite.
Tout s’est toutefois compliqué l’an dernier lorsque Magic s’est rendu compte, grâce à des connaissances, que la direction des Lakers parlait dans son dos et mentionnait qu’il ne travaillait pas assez. Il mentionne toutefois que c’est Rob Pelinka qui l’a backstab, dans cette situation.
« Seulement Rob. Je n’avais plus de plaisir à venir travailler, surtout lorsque je travaillais avec lui, car je savais qu’il voulait mon travail. »
La structure était nocive, tout simplement. Voici une autre citation intéressante.
« Je n’ai pas aimé que Tim Harris soit trop impliqué dans le basketball. Jeannie doit arrêter ça. Il y a trop de personnes à la table. Tu ne peux pas gérer une franchise comme ça, en donnant une voix à tout le monde. »
La goutte d’eau qui aura fait déborbé le vase aura été lorsque Magic souhaitait congédier Luke Walton et qu’il n’avait pas le pouvoir de prendre cette décision. Il n’avait alors plus de plaisir et ne pouvait pas mener l’équipe à sa façon, et il a donc décidé que c’en était assez.
Pour voir l’extrait dans son intégralité, c’est ici :