La meilleure espoir du basketball féminin québécois, Cassandre Prosper s’adapte très bien à son nouvel environnement à l’Académie Capital Courts, en Ontario. Âgée de seulement 16 ans, Prosper se voit devenir un modèle pour les jeunes filles et devenir une figure de proue dans le programme national canadien.
En entrevue à RDS, vendredi soir, celle-ci a eu l’occasion de parler de son arrivée à Orléans, du processus de recrutement vers la NCAA et de son expérience à l’international. Même si elle devra attendre une autre saison avant de faire son entrée de la NCAA, Prosper peut déjà compter sur l’aide son frère Olivier-Maxence, qui porte les couleurs des Golden Eagles de l’Université Marquette.
« C’est un processus vraiment excitant. Le fait que mon frère ait passé par là fait en sorte que c’est plus facile pour moi de savoir quelle école et quel entraîneur est bon pour moi. Mes parents m’aident beaucoup là-dedans. C’est eux qui ont le plus de contacts avec les instructeurs. Le fait qu’ils prennent une charge me permet de me concentrer sur le basketball et l’école. »
Cassandre Prosper, via RDS
Auteure de 25,1 points depuis le début de la saison 2021-2022, la Québécoise est vue comme une joueuse classée cinq étoiles par ESPN. Le même site classe même Prosper au 15e rang de la classe de 2023. Si elle estime avoir amélioré sa constance à l’extérieur du périmètre, elle a déjà ciblé certaines facettes pour passer au prochain niveau.
« J’aimerais vraiment développer mon contrôle de balle. J’ai souvent la balle dans les mains. Si je passe au prochain niveau, ça va être important de bien pouvoir manipuler le ballon pour créer des occasions de marquer pour mes coéquipières. »
Cassandre Prosper, via RDS
La WNBA n’a qu’à bien se tenir.