Sous les projecteurs pour avoir fait un Javier Baez de lui-même avec un pouce en bas aux partisans des Knicks de New York, Julius Randle a exprimé ses regrets face à cet événement et assure qu’il adore évoluer dans ce marché, même s’il n’est pas toujours facile par moments.
Sur sa page Instagram, l’ailier a dit que ses actions représentent la ligue, la ville et l’organisation, et qu’il doit mieux s’exprimer lorsque les émotions sont à fleur de peau. Randle avait fait ce geste en réaction à des huées de la foule lors du match de jeudi, face aux Celtics de Boston.
Après une superbe campagne l’an dernier, Randle a connu une baisse au niveau des statistiques. Avec les attentes élevées et la soif de résultats des amateurs new-yorkais, les circonstances étaient rassemblées pour que l’impatience et la frustration prennent le dessus.
« Personne ne veut plus gagner que moi. Je vais continuer à exprimer ma loyauté et ma dédication pour mes coéquipiers, l’entièreté de l’organisation des Knicks et les partisans qui ont donné beaucoup d’amour à moi et ma famille. »
Julius Randle, via Instagram.
Quelques mois auparavant, Javier Baez des Mets de New York avait fait la même chose que Randle. Le joueur d’avant-champ n’avait pas aimé le traitement des amateurs envers lui et ses coéquipiers. L’affaire avait fait partie d’un tourbillon de tourmentes et de distractions qui ont finalement coûté les séries éliminatoires.