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Luguentz Dort et Chris Boucher signent à gros prix et demeurent avec leur équipe respective

Crédit : AlleyOop360

En résumé

Cinq ans et 87,5 millions $ pour Dort. Trois ans et 35,25 millions $ pour Boucher. Une énorme journée pour le basketball québécois.

Alors que le marché des joueurs autonomes dans la NBA bat son plein en cette soirée d’ouverture pour les négociations formelles, on surveillait les Québécois Luguentz Dort et Chris Boucher, qui étaient tous les deux libres comme l’air. En fin de compte, ils n’auront pas pris de temps à signer et ils n’auront pas déménagé, mais ils ont été en mesure d’empocher d’énormes sommes d’argent.

Le premier à signer son pacte a été Boucher, alors que le joueur des Raptors s’est entendu avec l’équipe sur les termes d’un contrat de trois ans pour demeurer au Canada. C’est un pacte qui lui rapportera 35,25 millions $ en tout et partout, donc tout près d’un salaire annuel moyen de 12 M$.

Boucher est un élément important pour les Raptors en sortie de banc, lui qui a maintenu une moyenne de 9,4 PTS et 6,2 REB en 80 matchs la saison dernière. Il est récompensé pour son bon boulot et devrait encore une fois être utilisé à titre de sixième ou septième homme à Toronto l’an prochain.

Puis, littéralement une minute plus tard, ce fut au tour de Dort de voir son contrat être annoncé. Le produit d’Arizona State a fait sauter la banque, se méritant un pacte de cinq ans pour 87,5 millions $.

Considérant que le Québécois touchait moins de 2 millions par année depuis son arrivée dans la NBA, c’est une augmentation salariale considérable, alors qu’il touchera 17,5 millions $ par année en moyenne désormais.

Et pour le Thunder, qui a refusé son option à 2 M$ pour 2022-2023, c’est une opportunité de sécuriser un morceau important du noyau de l’équipe à long terme.

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À travers les transactions, quelques équipes ont réglé des dossiers prioritaires pendant cette saison morte.
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Bref, une énorme journée pour le basketball québécois, alors que deux des basketteurs de chez nous les plus connus se méritent un gros jour de paie. On leur souhaite la meilleure des chances au fil des années à venir, eux qui ont désormais un futur proche certain au sein de la meilleure ligue de basketball au monde.

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Félix Forget

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