Analyse

L’historique saison recrue de Wemby en chiffres et faits saillants

Crédit photo : Scott Wachter-USA TODAY Sports, création par AlleyOop360

En résumé

Revoyons ensemble la première campagne de Victor Wembanyama dans la NBA et ce qui l'a rendue aussi mémorable.

Rares sont les athlètes professionnels qui intègrent une ligue avec autant d’attentes à leur égard que LeBron James en 2003 ou Victor Wembanyama, 20 ans plus tard. Encore plus rares sont ceux qui sont en mesure non seulement de répondre à ces attentes démesurées, mais également de les surpasser, comme ces deux basketteurs ont su le faire aussi tôt dans leur carrière respective. Avec la saison recrue de Wemby chez les Spurs de San Antonio désormais dans le rétroviseur, prenons un moment pour apprécier, quantifier et qualifier le degré historique de ce que le phénomène français a réalisé, d’un point de vue individuel, en 2023-2024.

Il n’est pas qu’amplement digne du trophée Wilt Chamberlain de Recrue par excellence, mais celui qu’on surnomme l’Alien transcende carrément ce qu’un joueur de première année devrait (normalement) être capable d’accomplir dans la NBA. C’est à se demander s’il n’est pas la meilleure recrue de l’histoire du circuit…

À noter qu’officiellement, le titre de Recrue de l’année est décerné le lundi 6 mai, à 19h00, soit quelques heures après la publication initiale de cet article.

Victor Wembanyama n’a pas seulement marqué l’imaginaire de millions de partisans par ses nombreuses séquences de jeu inédites qui défiaient, selon toutes apparences, les lois de la physique. Il a également redéfini quelques termes et remis en question le langage utilisé dans les discussions entourant le basketball de la NBA, particulièrement l’analogie des « Unicorns ».

Jadis, on parlait de licornes comme des athlètes aux profils et ensembles de compétences uniques, qui allaient au-delà des archétypes traditionnels de ce sport. Par exemple, Kristaps Porzingis était surnommé Unicorn lorsqu’il effectuait son entrée en matière chez les Knicks de New York en 2015-2016, étant à la fois capable de contrer des tirs au panier – du haut de ses 7 pi, 2 po – et de décocher du centre-ville avec fréquence et efficacité.

Victor, lui, mesure 7 pi, 4 po, selon les évaluations officielles de la ligue (environ 225 cm), et présente encore plus d’agilité et d’aisance que KP dans ses déplacements, avec ou sans le ballon entre ses mains, tout en déployant des talents offensifs et défensifs inédits pour un basketteur de cette taille.

Giannis Antetokounmpo a aussi été caractérisé tel une « licorne » à quelques reprises dans le passé, en raison de son cadre, sa longueur, sa rapidité et sa magnifique combinaison de dominance des deux côtés du terrain. Or, même s’il représente la plus grande menace du circuit en transition, le Greek Freak n’accote pas Wemby à titre d’habile créateur offensif au périmètre.

En fait, le niveau de confort du jeune Français de 20 ans absolument partout sur un terrain de basketball est peut-être l’aspect le plus déroutant de son jeu. Comment comparer un tel accord entre gabarit/envergure et agilité/coordination, si on n’a jamais vu rien de tel dans le passé ? On pensait à un moment que Bol Bol pourrait faire office de premier joueur à inaugurer cette nouvelle catégorie, mais ce dernier n’a pas du tout démontré le même talent ou athlétisme que son homologue français.

Certes, Wembanyama n’est définitivement pas le premier joueur à la position de centre qui sait monter le ballon, le dribbler avec adresse et fabriquer des opportunités en attaque pour lui-même et autrui. C’est de plus en plus fréquent considérant la venue du nouvel archétype de « point center », mouvement chapeauté surtout par Nikola Jokic, puis Domantas Sabonis, Alperen Sengun et autres. Mais les pionniers de ce style ne sont pas nés de la dernière pluie, eux qui le faisaient ici et là dans une NBA d’époques bien différentes, comme le membre du Temple de la renommée Ralph Sampson (7 pi, 4 po) dans les années 1980.

On n’a toutefois jamais été présentés à un athlète de ce gabarit qui le fait avec autant de facilité ou avec une telle flexibilité physique (oui, Wembanyama est capable de faire le grand écart)

Avec Victor c’est, simplement, différent.

Chet Holmgren du Thunder d’Oklahoma City (dont le nom reviendra plus tard) et Brandon Miller des Hornets de Charlotte étaient eux aussi finalistes au prix de Recrue de l’année remis lundi soir, mais ils ne sont pas de taille (dans tous les sens du terme) devant la candidature historique de leur correspondant chez les Spurs, malgré de belles saisons pour leur club respectif.

C’est vrai, on parlait pourtant de Chet comme un favori précoce dans cette course à l’automne 2023, alors que Wemby s’acclimatait toujours à l’air du Texas et aux subtilités de la NBA, avant qu’il ne connaisse une éclosion explosive à l’hiver 2024.

En fait, après la pause du Match des étoiles, Victor Wembanyama inscrivait en moyenne à lui seul plus de contres (BLK) par match que le faisaient neuf équipes, collectivement, s’annonçant alors comme le modèle utopique du défenseur du futur. Il est d’ailleurs en nomination pour un autre trophée de performances, celui de Joueur défensif de l’année, lequel devrait toutefois gagner son compatriote Rudy Gobert, des Timberwolves du Minnesota, mardi soir.

Prédictions des prix de performance de la NBA | AlleyOop360
Consultez la liste des finalistes aux différents trophées de la NBA pour 2023-2024.
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S’il risque de ne pas soulever ce trophée cette semaine, les experts s’attendent déjà à ce que le jeune centre des Spurs amorce 2024-2025 comme favori dans cette conversation.

Cependant, même si Victor ne remporte pas cet illustre honneur défensif avant 2027 (sa quatrième saison en NBA), il serait le plus jeune joueur de tous les temps à le décrocher. Wow.

Wembanyama a déclaré devant journalistes que « [Rudy Gobert] pouvait avoir celui-là, » mais que les prochains titres de Défenseur par excellence « lui appartiennent. »

Voilà une affirmation qui peint un beau portrait du confiant et intelligent jeune homme qu’est Wemby, lui qui préfère le dessin ou la lecture au party ou à l’alcool. Son éthique de travail se marie drôlement bien à sa personnalité calme et réfléchie, comme c’est possible de le constater lors de cette fascinante entrevue avec Kevin O’Connor du réseau The Ringer, ce qui lui donne tous les ingrédients nécessaires en vue d’une maximisation de son talent et d’une réalisation de son plein potentiel.

Demeurant toujours humble, il se permet tout de même parfois quelques moments de projection. On se souviendra de sa citation où Wembanyama disait qu’il ne se considérait qu’à « 15% » de son apogée en tant que joueur de basket. Il a également partagé en fin d’année son insatisfaction avec les insuccès collectifs des Spurs, pour lesquels il prend le blâme.

Sa tête sur ses épaules pourrait être encore plus importante que son talent physique brut déjà exhibé, ce qui n’est pas peu dire. Rappelons que cette saison recrue sera probablement la « pire » que nous verrons de sa part de toute notre vie, et on parle déjà de Victor comme le joueur qui deviendra possiblement le meilleur atout défensif de l’histoire.

En 2023-2024, une recrue menait la ligue au chapitre des tirs bloqués par match, avec 3.6 BLK de moyenne (c’est plus que le Heat de Miami!), tout en ne disputant que 29.7 minutes par rencontre… Et cette recrue est devenue le plus jeune joueur de tous les temps à s’incrire au sommet de cette catégorie pour une saison NBA.

Prenons un moment afin d’apprécier ce simple fait et son degré d’improbabilité.

Avec les schémas offensifs modernes qui veulent de plus en plus éloigner les défenseurs adverses du panier, Wemby n’a pas de difficulté à défendre au périmètre non plus, alors qu’il devenait le premier joueur depuis Hassan Whiteside en 2015-2016 à bloquer au moins 3.5 tirs par rencontre, dont plusieurs près de l’arche, un chiffre qui était atteint plus fréquemment dans le passé (ce n’était pas rare de voir Dikembe Mutombo ou David Robinson contrer plus de 4 tirs de moyenne par soir à travers les années 1990).

Plusieurs fans du ballon orange n’ont pas tardé avant d’embarquer sur ce wagon Wembanyama qui détale à toute allure vers les plus hauts sommets, en s’appropriant notamment de la marchandise à l’effigie de cet énergumène pourtant étranger, lui qui est né à Le Chesnay en périphérie de Paris, le 4 janvier 2004.

À travers la deuxième moitié de la saison, Victor Wembanyama était quatrième au chapitre des maillots vendus aux États-Unis, via NBAStore.com. Voici le top 15 :

Les faits d’arme et exploits de Wemby à un si jeune âge sur les parquets commencent tout juste à correspondre à son impact hors du terrain, qui rapporte déjà des millions de dollars en revenus additionnels à la NBA, aux Spurs et à son partenaire Nike. Sous peu, on pourrait parler du Français comme le visage de cette ligue ET du basketball international.

Il était d’ailleurs troisième du palmarès des joueurs dont les faits saillants ont été les plus vus sur les plateformes de réseaux sociaux de la NBA en 2023-2024. Seuls Wembanyama, LeBron James, Stephen Curry et Luka Doncic ont généré plus d’un milliard de visionnements.

Voici les statistiques moyennes globales de la recrue de San Antonio – 1er choix au total à l’été 2023, en provenance des Metropolitans 92 de Levallois-Perret – à travers ses 71 parties jouées :

21.4 PTS, 10.6 REB, 3.9 AST, 1.2 STL et 3.6 BLK par match, sur 47% d’efficacité au tir et 33% d’efficacité aux tirs à 3-points

Ajoutons à cette fascinante ligne statistique les rendements totaux de Wemby au fil de son année recrue :

1522 points marqués, 755 rebonds captés, 274 passes décisives distribuées, 254 tirs adverses contrés, 128 tirs à 3-points convertis

Dans les deux cas, aucun joueur de l’histoire de la NBA n’a déjà présenté ces stats ou mieux sur une saison complète – et Victor l’a accompli à sa première expérience. Personne avant lui n’avait même déjà enregistré des minimums de 1500 points, 250 tirs bloqués et une centaine de lancers extérieurs en une campagne.

En dépit de son efficacité moins qu’impressionnante, ainsi qu’une cote True Shooting de 57%, il existe d’encourageants signes de progression future chez Wembanyama à ce chapitre; il a amélioré l’efficience de ses tirs de l’arche et de ceux de la mi-distance à mesure qu’il avançait à travers le calendrier régulier, et a même terminé l’année avec le meilleur taux de conversion du circuit aux step-backs du périmètre (46%)!

Même si les Spurs ont terminé leur médiocre saison avec un bilan de 22 victoires et 60 défaites, 14e de la conférence Ouest, l’organisation ne pourrait pas se réjouir davantage du précieux joyau qu’elle a entre ses mains.

Si on ne s’attarde qu’à l’histoire de la franchise texane, on constate que Wemby, chez les recrues des Spurs, se classe deuxième pour les points par match, troisième pour les rebonds par match, quatrième pour les mentions d’aide par match, deuxième pour les contres par match, septième pour les interceptions par match et deuxième pour les tirs à 3-points par match.

Rappelons que cette concession a repêché les grands Tim Duncan, David Robinson, Tony Parker, Manu Ginobili et Kawhi Leonard, entre autres.

En ce qui a trait à cette saison seulement et la cuvée 2023 de joueurs de première année, l’Alien se voit premier des catégories suivantes chez les recrues : points totaux, rebonds totaux, blocs totaux, vols de ballon totaux et paniers totaux – en plus de figurer au troisième échelon des passes décisives totales. Aucune autre recrue de l’histoire a déjà fait partie du top 3 pour ces cinq catégories, avant Wemby

Et les impressionnantes statistiques au sujet de la campagne du géant ne s’arrêtent pas là.

Wemby n’a pas fait qu’écrire une page d’histoire dans les livres de records de l’Association, il en a rédigé un chapitre complet. Voici d’autres faits intéressants, qui servent à complémenter les stats ci-haut :

Dans toute l’histoire de la NBA, Wembanyama est le/la…

  • Plus rapide à atteindre 1000 points, 500 rebonds et 150 contres totaux;
  • Plus jeune joueur à être sélectionné parmi une équipe All-Defense;
  • Plus jeune joueur à inscrire 40 points et 20 rebonds en un match;
  • Plus jeune joueur à inscrire une performance de 5×5;
  • Plus jeune joueur à inscrire un triple-double avec 10 contres;
  • Plus jeune joueur à inscrire un triple-double sans revirement (et le seul à le faire en 21 minutes);
  • Plus jeune centre à réussir le triple-double;
  • Premier joueur à maintenir en moyenne sur une saison au moins 20 points, 10 rebonds, 3 contres et 1 tir à 3-points;
  • Premier joueur avec au moins 250 tirs bloqués et 100 triplés en une saison;
  • Premier joueur à maintenir au moins 5 de moyenne dans cinq catégories statistiques principales (5×5) à travers deux matchs;
  • Premier joueur depuis la saison MVP de Shaquille O’Neal à présenter en moyenne au moins 20 points, 10 rebonds et 3 contres par match;
  • Première recrue sur la première équipe d’étoiles défensives (All-Defense);
  • Première recrue avec au moins 300 stocks (interceptions + contres) depuis Shaq;
  • Première recrue à enregistrer plus de doublés (43, soit 20 de plus que Chet Holmgren) que tout le reste de sa cohorte combiné;
  • Première recrue (ou joueur de moins de 20 ans) avec une séquence de huit doublés consécutifs ou plus;
  • Quatrième joueur avec au moins 1500 points, 250 assistances et 250 contres en une campagne, rejoignant Kareem Abdul-Jabbar, Hakeem Olajuwon et David Robinson.

En bonus, nous aimons bien également ce travail de recherche de la page Extra Muse sur X.com qui compile ici les prestations inédites du principal intéressé, qu’elle appelle des « Wembygamis ». Consultez donc cette liste des hallucinantes lignes statistiques du phénomène français à l’occasion de ses meilleurs matchs du calendrier régulier, performances qui n’ont jamais été égalées avant, en ce qui concerne les points, rebonds, passes, interceptions, contres et tirs extérieurs :

Comme mentionné précédemment, Holmgren a lui aussi connu une année formidable à titre de recrue – même si ce dernier avait été repêché en 2022, mais qu’il n’a pas pu disputer sa première campagne avec une blessure au pied –, tout à fait digne de mention. Il évoluait pour une équipe du Thunder, la deuxième plus jeune de la ligue, qui a (évidemment) été bien meilleure que celle des Spurs, décrochant la première tête de série à l’Ouest.

Chet, grand de 7 pi, 1 po, s’est immédiatement invité sur la scène avec panache tel une pièce essentielle au succès inattendu des siens et ce, dès le premier mois d’activité, avec une avance considérable dans la course au titre de Recrue de l’année aux mois d’octobre, novembre et décembre, notamment pour ses apports bidirectionnels et son efficacité au lancer de longue distance. Holmgren s’est d’ailleurs mérité deux des cinq honneurs de Recrue du mois dans l’Ouest (les trois autres sont revenus à son rival européen).

Toutefois, à mesure que la saison progressait et que la défensive adverse resserrait la vis sur Holmgren, son efficience et son rendement global ont graduellement diminué, tandis que les productions de Wemby gagnaient en importance.

Cette ascension correspond grosso modo au moment où le grand entraîneur-chef des Spurs Gregg Popovich a décidé de commencer à faire jouer sa recrue au poste de centre partant, plutôt que de le reléguer au poste d’ailier fort, aux côtés de Zach Collins (les Spurs ont fait quelques expériences étranges en début de calendrier).

Voici justement un excellent tableau illustrant l’amélioration statistique de Wembanyama, de mois en mois, gracieuseté de theScore.

theScore

Il en demeure que les deux jeunes pivots ont repeint le paysage de la ligue ensemble et qu’ils ont laissé une marque indélébile sur cette saison, à leur façon. Il s’agissait d’ailleurs de la première fois de l’histoire que deux recrues menaient leur circuit dans la catégorie des contres totaux (254 pour Victor et 190 pour Chet).

On ne pourra pas discuter du prototype « d’extra-terrestre » qu’est Wembanyama sans mentionner aussi son rival direct, Chet Holmgren, à l’avenir, car les deux joueurs présentent tant de similarités avec leurs longs membres, leurs habiletés offensives et leur capacité à bloquer n’importe qui et n’importe quoi. C’en est presque drôle que ces deux joueurs si uniques, mais si comparables, ont vécu leurs premiers pas dans la cour des grands au même moment.

Et force est d’admettre qu’à l’occasion de pratiquement n’importe quelle autre campagne – où Wemby n’est pas là pour jouer les trouble-fêtes –, Holmgren aurait pu être honoré comme la Recrue de l’année… mais pas celle-ci. Voici une comparaison statistique des deux gaillards :

Stats (par match)Victor Wembanyama (SAS)Chet Holmgren (OKC)
+/–-142+422
Minutes (MIN)29.729.4
Points (PTS)21.416.5
Rebonds (REB)10.67.9
Passes décisives (AST)3.92.4
Interceptions (STL)1.20.6
Contres (BLK)3.62.3
3-points (3PM)1.81.6
Revirements (TOV)3.71.6
Taux d’efficacité au tir (FG%)47%53%
Taux d’efficacité aux 3-points (3P%)33%37%
Taux d’efficacité aux lancers francs (FT%)80%79%
Taux d’efficacité True Shooting (TS%)57%63%
Victoires contribuées (Win Shares)+3.7+8.9
Cote défensive (DefRTG)108106
stats via basketball-reference

Le futur réserve de grandes choses pour le brillant prodige qu’est Victor Wembanyama et un titre de Recrue par excellence – alors qu’il a peut-être été la meilleure recrue de tous les temps à fouler les parquets de la NBA, et certainement la meilleure en défense – n’est en fait qu’une jolie note pour souligner le début d’une grande carrière. N’importe quel amateur du sport ne pourra que croiser les doigts en espérant que Wemby demeure en bonne santé au travers des années à venir, et ne peut qu’admirer ses talents avec émerveillement.

Mise à jour (21 mai 2024) :

C’est une sélection unanime pour Victor Wembanyama à titre de Recrue de l’année 2023-2024.

Victor Wembanyama remporte le titre de Recrue de l’année | AlleyOop360
Aucune autre recrue n’a été meilleure cette année que Victor Wembanyama des Spurs de San Antonio.
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Il est ensuite arrivé deuxième dans la course au titre de Joueur défensif de l’année derrière son compatriote Rudy Gobert, alors que son nom figure au sein des premières équipes All-Defensive et All-Rookie. Chet Holmgren, quant à lui, a terminé 13e au vote pour les unités d’étoiles défensives, mais il est parmi la première équipe de recrues, côtes à côtes avec Wemby.

Rudy Gobert remporte son quatrième titre de Joueur défensif de l’année | AlleyOop360
Le pivot français devance Victor Wembanyama et Bam Adebayo afin de mettre la main sur ce titre une nouvelle fois.
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Deux Français sur les équipes All-Defense, dévoilées aujourd’hui par la NBA | AlleyOop360
Au lendemain du dévoilement des équipes de recrues, la NBA a partagé ses deux équipes d’étoiles défensives pour 2023-2024.
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Les 10 joueurs formant les deux équipes recrues de l’année sont maintenant connus.
alleyoop360.com

Liam Houde

Liam a gradué en journalisme au Collège La Cité, à Ottawa. Il aime marier son amour de la rédaction avec sa passion pour le basketball et son objectif est de faire du Québec un endroit où ce sport est un élément clé de la culture.

Liam Houde

Liam a gradué en journalisme au Collège La Cité, à Ottawa. Il aime marier son amour de la rédaction avec sa passion pour le basketball et son objectif est de faire du Québec un endroit où ce sport est un élément clé de la culture.

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